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expat' à Bangalore
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20 novembre 2007

MALAISIE, Kuching

Via une navette qui part du resort, nous nous sommes rendu à Kuching. C'est propre, les magasins ont des points communs avec les échoppes de B'Lore (la taille, la variété des marchandises), mais c'est bien plus propre. Pas d'ordures au sol, des trottoirs et des chaussées fréquentables. Pas de mendiants (en tout cas, je ne sais pas où ils étaient, mais on ne les a pas vus), des gens aux mains propres qui vous servent. On voit quand même de drôles de choses (des bouteilles remplies de crevettes ou de poissons tassés dans un jus un peu zarb, des tas de poissons séchés...)

Kuching__7_    Kuching__11_  des échoppes

Kuching__2_ marché au poisson, il y a vraiment de drôles de bestioles dans l'eau

marché aux légumes, pour les couleurs Kuching__6_

Kuching__19_    Kuching__18_ les quais de Kuching

epices_retouchees_1 des bacs de pois (chiches, verts... ) et de lentilles, et des épices

epices_retouchees_2

Kuching__17_ Kuching, ville des chats

  Kuching__20_ une allée couverte (on en a découvert l'intérêt quand le déluge nous est tombé dessus !)

On souhaitait se rendre au Sunday Market, mais une pluie diluvienne maison_chinoise_retouchee_1 nous a confinés aux galeries d'India Street, où ô miracle, nous sommes tombés sur une boutique qui vendait des articles pour pâtisserie : extraits, colorants, mais aussi chocolat à fondre, en pépite, en vermicelle, fleurs en sucre, nous avons halluciné. Oui, je sais que je pourrais m'extasier sur l'artisanat local, mais non, définitivement, c'est cette boutique qui nous a le plus étonnés.

Pour l'artisannat local, j'avoue ne pas avoir encore vraiment jeté d'oeil dessus, me disant qu'on aurait le temps au retour et sur le Sunday Market, mais finalement, le retour s'est fait au pas de course, saucés comme jamais nous ne l'avions encore été. Heureusement, même forte, la pluie reste chaude. On a trinqué davantage dans la navette de retour avec sa clim...

 

Je suis finalement retournée seule à Kuching, pour shoppinger tranquille. Dans un mall (centre commercial – les 2 que j'ai trouvés sont plus petits que ceux de B'lore), j'ai fait une razzia sur des jeans. Ils dureront ce qu'ils dureront, mais pour une fois que je trouvais une coupe qui m'allait, j'en ai profité. C'est dur la vie : acheter ses jeans en Malaisie, ses tops en Inde, ses chaussures en France...

 

Puis, quand même, direction les boutiques à touristes. Pardon,d'artisanat local. D'emblée, déjà, on est tranquille, personne qui ne cherche à vous mener quaiment de force dans sa boutique ; pas de rabatteurs, pas de grands cris... L'artisanat local se compose de statuettes de chats de toutes les couleurs (Kuching étant la ville des chats), de masques en bois sombre, certains très (et volontairement) comiques (un vieillard au sourire édenté, un autre qui tire la langue, un autre encore avec un groin de cochon), utilisés pour une fête.

On trouve aussi de nombreuses statuettes, des armes, des boucilers, des kits de tatouage d'un certain âge (avec un tampon, on applique l'encre sur la peau, puis avec deux baguettes, une avec une aiguille, l'autre avec un bout « marteau », on tapote pour faire pénétrer l'encre dans l'épiderme : Sarawak_cultural_village__60_), des cadres de miroir sculptés de motifs traditionnels, des sacs en tout genre, souvent à base de fibre de coco ou de palmier, certains en écaille de bois, et plein de petits fouillis (bourses, stylos, bloc-notes, album photo... repose-téléphones, chaussettes à  téléphones, etc.) pour remplir les sacs.

On trouve aussi une multitude de T-shirts « Sarawak » (c;est l'état dans lequel nous sommes), dans toutes les tailles. Dont des avec des chats (la Mary des Aristochats semble beaucoup plaire aux fabricants de T-shirts...) plus typiques.

Les boutiques se suivent (c'est vraiment toute une rue qui en est remplie) et se ressemblent pas mal, mais les gens sont gentils. La décision est prise : je me rendrai (seule sans doute) au fameux « village culturel » qui présente les modes de vie traditionnels de 6 ou 7 tribus Sarawak, que je voyais plutôt comme un piège à gogos.

 

En attendant, je prévois deux sorties pour la famille (via l'agence de tourisme de l'hôtel) : le centre de réhabilitation des Orang-Outans qui se situe tout près, et une petite journée à la réserve de Bako.

 

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