Justement, je n'avais rien à faire cette semaine
La maison est trouvée, on attend quelques temps pour les banques (une histoire de cotisation). Pour mon poste foireux, ma foi, y'a pas grand chose à faire que d'attendre les résultats de la commission qui se réunit demain pour "valider le projet" d'affectation.
Et donc, la semaine s'annonçait pépère, voire socialisante.
Sauf que, sauf que.
Hier, Kéa a trouvé comment grimper sur la balustrade de la terrasse. Je suis donc aller acheter des rosiers pour obstruer le passage. On est au second étage quand même, faudrait pas qu'un chat tombe.
Bon, alors les rosiers, les chats s'en fichent royal. Et Indi a bien compris comment faisait Kéa, et explorer la terrasse des voisins d'à coté, c'est simplement génial. Interdire l'accès à la terrasse, quand même, ça fait mal au coeur, pauvres chats coincés dedans quand il y a 18 m carrés de "dehors".
On s'est dit que bon, le rebord de la balustrade étant 4 fois plus large que celui des balcons en Inde, à part déranger les voisins, les chats ne risquaient pas grand chose. Pas de tomber, en tout cas.
Ce qui est sympa avec les chats, c'est qu'on ne peut jamais être sûr de rien.
Ce matin, en toute logique féline, les voisins du RdC qui sont venus nous prévenir qu'il pleuvait du chat. Du beau chat d'ailleurs. Encore vivant, hein, et pas trop amoché. Mais quand même, l'a fait une sacrée chute, le bestiau.
Un croc cassé, un menton esquinté, et une forte boiterie de l'arrière. Direction le véto, après avoir déposé Mamz'elle à l'école. Une injection d'anti-douleur, un RDV mercredi pour une radio des hanches sous anesthésie.
Devinez qui a gagné ???